Plusieurs établissements scolaires de la commune de Libreville ont été vandalisées. Les responsables administratifs sont impuissants face au phénomènes. La CONASYSED attire l’attention du gouvernement.
Dans la nuit du jeudi 14 au vendredi 15 mai 2020, l’école primaire sino- gabonais de melen à la sortie Est de la capitale a été visitée. Les bureaux de l’administration ont été saccagés. Aucune interpellation n’a été signalée.
À l’école de belle vue1 dans le 3e arrondissement et au CES d’Avorbam au Nord de Libreville, des ordinateurs ont été emportés par des inconnus.
À leur passage, les vendables ont détruit par endroits des documents administratifs ont été détruits, il en est de même que les quelques accessoires didactiques et pélagiques.
Depuis la fermeture des établissements scolaires au mois de mars dernier pour lutter contre la propagation du Covid-19, les agents de police qui avaient été affectés pour sécuriser les lieux ont baissé la vigilance. Les structures sont à l’abandon.
Le ministère de l’Éducation nationale ne s’est pas encore prononcé sur ces actes perpétrés par des personnes inconnues. La Convention des Syndicats du Secteur Éducation manifestent des inquiétudes. La CONASYSED souhaitent le rétablissement des brigades de surveillance.