[ FAITS DE SOCIÉTÉ] MA SUGGESTION SUR LA GESTION DES COUPLES & FOYERS EN RÉPUBLIQUE GABONAISE.
Par Firmin Michel EMVO NZUE

Loin d’être un sujet d’amusement, le constat fait. La situation des couples en république gabonaise est pire qu’un casse tête chinois. On se poserait la question de savoir, est-ce qu’il existe encore, les vrais sentiments dans cette république ?
On a plutôt l’impression que c’est l’amour Chinois qui prime en ses temps… L’amour par intérêt.
Comment comprendre qu’on observe sans raison aucune des femmes mariées à la coutume et à l’État civil divorcé pour ci-peu. En abandonnant tout le sacrifice et enfants derrière.
Pendant que d’autres femmes veulent un mari. Parfois, à des fins d’arnaques pour l’homme devenu instable pour le divorce.
« Il y’a plusieurs femmes qui veulent le mariage et le mari. Que font-elles?
Il y’a 3 groupes distinctes ;
1 er groupe : Il y’a celles qui pensent qu’un homme viendra faire des présentations en blanc ( présentation sans se connaître ) auprès de leurs familles. Qui est fou de nos jours de se faire ce genre d’exercice ? Surtout lorsque ladite femme a forcément des enfants, parfois sans boulot. Ce qui présente un grave risque pour l’homme. Alors qu’elle n’a aucun intérêt pour l’homme.
2 ème groupe. Les femmes dont , elles imposent que l’homme pose des actes. Argent de poche, loyers, des charges, paiement des frais scolaires des enfants qui ne sont pas les tiens. Alors que leurs Papas dorment tranquillement. Cet homme pense qu’il sera récompensé par ses actes ? Puisque la sincérité des propos n’est plus de mise au Gabon en matière de mariage.
3 ème groupe, est celle qui vient vivre avec toi. Tu t’engage à l’honorer dans sa famille Cococo, présentation, mariage coutumier et civil. Elle te donne une garantie d’un an. Paf… Elle s’agrippe d’un moindre petit problème pour solliciter le divorce. Puisque sa famille a mangé.
Enfin… Pour se chercher un deuxième pigeon à spolié dans les mêmes circonstances.
Ce que je décris là comme une blague est le véritable fait de société que plusieurs gabonais et gabonaises vivent dans ce pays.
Comment comprendre que plus le taux de mariage augmente, et plus y’a les divorces des mêmes mariages juste après les noces ou deux à trois ans après ?
Comment comprendre qu’après un investissement à plusieurs millions, de suite on se retrouve déjà divorcer ?
Qu’est-ce qui n’a pas marcher ? Évidemment ce qui n’a pas marcher est que certaines femmes gabonaises ont optés d’arnaquer les hommes.
Pourquoi cette certitude d’arnaque?
Elles veulent un homme, qui doit poser des actes. Oubliant en elles-mêmes qu’elles viennent avec des charges qui doivent les imposés d’être hyper-sérieuses dans la relation. Parfois, elles amènent enfants, sœurs et frères, etc…
L’homme jouant sa partition, pourquoi la femme doit-elle parfois initié un divorce ? Après enquête auprès de certains juges matrimoniaux, il y’a deux groupes ;
• 1 er groupe, ce sont les divorces initiés par les épouses pour spolié davantage les hommes.
• 2 ème groupe, les hommes qui initient les divorces, soient pour motif d’infidélité, voie des faits, etc…
Pour revenir au mariage coutumier proprement dit, qu’il est rare qu’un clan ethnique fasse épousé leur fille à vil prix de nos jours au Gabon. Si l’on n’a rien donné il faut compter deux millions de francs CFA chez la belle-famille sans compter vivres et boissons.
Après l’endettement de l’homme. Il est hors de question que la même femme divorce après juste deux années. Tenez vous bien, sans remboursement de la dot. En sus, s’il y’a des enfants. On imposera à l’homme la pension alimentaire sans avoir un regard s’il a un salaire où pas.
Ce qui semble paradoxal, et qui devient rare de nos jours de constater que les familles des femmes gabonaises n’assument plus leurs rôles de conseillers. Après manger la dot et la nourriture, ce n’est plus leur problème en cas de divorce. Encore moins, enfants ou pas de rendre la dot au cas où la femme ne veut plus repartir au mariage. Et nous pensons que cette attitude de renoncement de la famille de la femme est une incitation à une indiscipline notoire qui a de fortes conséquences à long terme sur les enfants au départ qui n’ont pas l’autorité paternelle biologique, et perdent une seconde fois l’autorité paternelle qui est le mari de la maman.
Le CTRI doit mettre le holà dans cette pratique qui n’honore pas notre nation de nos jours.
La conséquence est que nous nous retrouvons avec des enfants bâtards dans les recoins des rues et qui plus tard deviennent des criminels.
Je suggère au CTRI la loi matrimoniale ( qui gère les foyers et les couples soient plus rigoureuse ). Nous devrions nous inspirer de la Guinée-Équatoriale qui a su atteindre le bon niveau de maîtrise de la gestion des relations de couple chez eux. Il est très difficile de rencontrer aux abords des marchés et de la ville des enfants désœuvrés quémandant de l’argent et la nourriture.
Généralement, c’est la police et la gendarmerie qui gèrent ce genre de cas de situation. Ou d’observer une femme qui vit maritalement en couple avec un homme ( marier, concubinage, fiancée), quelque soit le mode de relation se termine en contentieux dans une unité de sécurité et des biens. Gare à celui où celle qui a tort. En prend à ses dépens.
« On ne peut pas continuer à dupé les hommes comme ça, et éternellement ». Si j’emploie cette expression, j’estime que c’est la femme qui est la première personne responsable du cocon familial.
Malheureusement, nous constatons au Gabon plusieurs femmes dîtes célibataires. Qui font plusieurs enfants avec plusieurs pères, dans l’intention d’avoir une pension alimentaire pour tout les Papas et pour chaque enfant.
À la fin, la prise en charge de ces enfants n’est pas à 100% quand bien même y’a la pension alimentaire des papas.
Je pense qu’en République Gabonaise, on doit normalisé les relations de couples en cette république.
Très sincèrement, je suggère à l’assemblée nationale de transition et au Président cette loi qui va désormais garantir les intérêts du cocon familial et surtout des enfants gabonais. Il faut le reconnaître, nous avons aujourd’hui une société malade à cause des multiples préjudices dû aux divorces et surtout au renoncement de certains parents pour la gestion des et leurs prises en charges.
Abîme té…